roman

M : la cicatrice sur sa poitrine, j’en oublie que c’est lui dont les yeux sont couteaux. il joue dans l’air tiède et l’odeur du café, il a des livres dans les bras, des filles, des moments de beauté qui sont doux et cruels et légèrement surjoués, à la russe, à la grecque, yeux mi-clos et violents. je parle de toi je ne parle plus de personne, tout à l’heure encore au soleil je te disais : je vais faire de toi un personnage de roman.

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