d’abord un premier « journal online », dès 1999, en une époque où s’écrire sur internet était taxé d’exhibitionnisme - il y a de quoi rire aujourd’hui – ça s’appelait breathing under water. le journal a disparu avec son hébergeur multimania.
le journal devient l’immédiate en 2001. fond blanc, couleurs simples, codé à la main, plusieurs centaines de pages au fil des jours et des villes : Paris – Tokyo – Christchurch – Melbourne – Paris encore Nantes et jusqu’à revenir aux Etats-Unis, le journal d’O. est avant tout le journal d’une errance.
le blog d’O. se crée en supplément à partir de 2002 : un lieu pour les liens, la musique, les vidéos, le dehors. il a changé d’hébergeur depuis et s’appelle Sismographia.
d’autres choses encore : la jeune fille et la mer, recueil de textes courts ; les chemins de traverse, bibliothèque idéale à portée de toute main.
aujourd’hui : le désir de revenir à l’écriture sans le tracas html. la nouveauté de l’outil wordpress, à la fois normatif (chaque page sur le même look) et qui n’exclut pas la prolifération (cette page étant la première branche). il n’est pas question que ce journal devienne un blog : il reste carnet intime, intérieur, journal de bord, bloc-note virtuel, crise et repli, refuge, blessure, constellation, mon écriture donnée à lire.
car encore c’est sans doute cela seul qui importe – le partage.
le journal d’O existe depuis 1999.
le blog d’O est en ligne depuis avril 2002.
la jeune fille et la mer s’étend de juillet 2002 à janvier 2005.
les chemins de traverse proposent leurs lectures-promenades depuis décembre 2002.
Sismographia prend le relais du blog depuis septembre 2012.
merci.
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