(je veux que tu penses à moi, juste un peu, le soir pour commencer, et puis la nuit montante, la nuit comme elle t’inonde, et mes mains, et mes yeux, la nuit et toutes les nuits, celles que nous avons eues, celles qui ne sont pas à nous, et celles que j’imagine, que je désire tout haut, toute ma peau attendrie par la paume de tes mains, pressées sur ma poitrine, à faire craquer les os, et puis me libérant de ma cage thoracique.)
-
-
Articles récents
Mots-clefs
écosse écriture Antonioni Argentine arthur cravan beauté berlin Brésil bruxelles bucarest Buenos Aires californie choses insupportables colère cracovie désir danse errance failles sismiques fantômes femmes fièvre films fragments gender studies hospitalité japon joie les filles lisbonne listes livres madrid maroc musique New York nuit paris peinture Rio seule suisse tango tokyo USAArchives