glacée de peur quand brusquement à ton visage affleure la forme du mensonge. je ne peux plus porter ta tristesse, ton goût pour le passé, morbide, attaché aux mauvais objets, je ne veux plus de ce poids mort dans notre histoire, tu es en train de nous noyer. moi toute ma vie je me suis méfiée, des types, de leurs promesses, de leurs angoisses, et faut-il que j’ai été amoureuse à en crever pour ne pas voir que de tous tu étais le plus dangereux, car le plus menteur et le plus timoré.
je n’ai plus envie de me battre pour toi.