d’amour toujours pour le Japon

oh tous, Sanae-san, Miyuki-chan, Yukie-san, Yoshi aux yeux de feu, et Toshi, Ryuji, David, et J toujours mon presque frère, jusqu’aux petits moines en robe blanche qui couraient en bas de chez moi en riant, la foule aux mille visages de Shibuya, et chaque petite fille aux chaussettes remontées, chaque conducteur de train de la Yamanote, chaque sourire, souffle, corps, Yasuda-Sensei si patiente avec moi, les Africains nocturnes de Roppongi-Dori, le mouvement de la ville, la douceur de cette vie, comme je pense à vous et comme j’ai mal d’être si loin dans cette épreuve.

Cette entrée a été publiée dans journal, avec comme mot(s)-clef(s) , . Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.

Les commentaires sont fermés.