positively 4th street

dimanche soir alors que s’arrêtent les grandes roues et les machines à glace, fracas des trucks sur les Commons, la petit foule se disperse jusqu’à disparaître – ce calme de province, étonnamment rassurant.

on a parlé toute la nuit et un morceau de l’après-midi, maintenant le dernier soleil très rouge sur les arbres magnifiques et on s’installe au bar d’un restaurant mexicain, pomegrita frappée sur fond de Bob Dylan, joie légère, sans raison, sans attaches, impossible de vouloir plus ou autre chose.

Cette entrée a été publiée dans journal, avec comme mot(s)-clef(s) . Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.

Les commentaires sont fermés.