c’est serré dans la poitrine, ça ne passe pas, il n’y a rien à faire, rien à dire non plus, les mots sont si petits: mais le jour et la nuit et le jour encore je tiens le Japon en moi comme la douceur d’un amour.
les yeux perlés cette nuit en lisant des fragments du « journal des jours tremblants » de Yoko Tawada mis en ligne par son éditeur.