un été Murakami

emportée par l’étrangeté de Dance, dance, dance, subjuguée par une scène de Sputnik Sweetheart, ennuyée par les Chroniques de l’oiseau à ressort et dans une moindre mesure par son Autoportrait de l’auteur en coureur de fond. quant à After Dark, trop faussement expérimental, je n’y comprends que dalle. je m’étonnais encore de la quantité de déchet chez Murakami quand une nouvelle de Blind Willow, Sleeping Woman a attiré mon attention il y a quelques jours : rien de très original en soi mais une jolie déclinaison sur l’épouvante du double (The Mirror).

est-ce là l’une des clés de mes joies japonaises ? à Tokyo seulement j’ai su passer de l’autre côté de moi-même.

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