café noir dans la pluie tiède, la finesse de vos yeux, vous qui savez si bien m’entourer. je voudrais vous donner toute la joie que vous me procurez mais c’est vous toujours qui me couvrez de cadeaux, geste tranquille de la main, liquidité merveilleuse des après-midis hors du temps. je vous confie mes doutes sur ce journal, vous êtes le seul à qui je parle des filles qui vagabondent dans ma tête et que je ne sais pas écrire, et brusquement – c’est toujours comme cela – tout en moi s’attise et s’apaise à la fois, tout cela grâce à vous, ce que j’appelle : la grande confiance.
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