lectures

boulimie de lectures.

j’engrange du français dans ma retraite américaine.

Jean-Jacques Schuhl : Entréee des fantômes (acheté pour le titre, mais tout de suite surgit la sacro-sainte figure de la top model slave qui sniffe le talc illicite de son poudrier, on a déjà vu ça chez Sollers (Passion fixe), autant dire : on a déjà vu ça partout)

Beigbeder : Un roman français (je lis pour comprendre mais je ne comprends pas, pauvre petit garçon riche qui se retrouve en garde à vue pour un rail de coke sur le capot d’une Chrysler de l’avenue Marceau)

qu’est-ce que cette obsession de la drogue, cette proéminence de la cocaïne dans la production littéraire contemporaine et les fêtes parisiennes ? je me tourne vers Avital Ronell : Crack Wars.

« The history of our culture as a problem in narcossism »

dernière tentative : très déçue par les Trois femmes puissantes de Marie NDiaye. ça ressasse, ça m’ennuie, j’ai le sentiment d’être prise pour une idiote (j’ai bien compris que le mot « flamboyant » renvoyait à l’arbre, pas à l’adjectif, ça n’est pas la peine de faire le coup dix fois de suite)

et sinon ? – impossible d’écrire.

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