dîner chez Toshi : petits plats dans les grands, manjus, daifukus, vin et thé vert, il dit « I’m a real japanese housewife ».
B est là : ancien laveur de vitres des buildings de Roppongi, rocker aux cheveux teints, il fait une thèse sur Heidegger entre Tokyo et Paris. N est prof à la Todai avec des yeux de chat, il manie allègrement Nietzsche et Derrida en tournant la salade.
question existentielle : comment ne pas mourir d’amour pour les garçons japonais ?