heures très douces du samedi. j’erre dans les vieux vinyls, les guitares folk, les yeux de P qui fou de joie serre contre son coeur les disques sur lesquels il nous fera danser, bientôt, un soir de neige ou d’abandon. thé de noël mais l’hiver ne vient pas – on parle du bruissement du vent sur l’eau des fontaines de Grenade, de l’endroit exact où nous étions à la sortie de This is hardcore, de l’amour qui file entre les doigts et parfois revient comme un refrain étonnant. Why do we have to half kill ourselves just to prove we’re alive ?
-
Articles récents
Mots-clefs
écosse écriture Antonioni Argentine arthur cravan beauté berlin Brésil bruxelles bucarest Buenos Aires californie choses insupportables colère cracovie désir danse errance failles sismiques fantômes femmes fièvre films fragments gender studies hospitalité japon joie les filles lisbonne listes livres madrid maroc musique New York nuit paris peinture Rio seule suisse tango tokyo USAArchives